Avant de partir tête baissée vers un positionnement stratégique, Evidence réalise un audit complet – comprendre UX + design + SEO + contenus – du site et de la page Facebook. Bilan : certaines choses fonctionnent très bien, d’autres sont optimisables. Classique. Les choses (techniques) sont optimisées et un “plan de digitalisation” annuel se fait jour. Au menu notamment : création d’une ligne éditoriale cross-média assortie d’un planning de publications annuelle. Et la création ex nihilo d’un tout nouveau support : le webzine “Bien urbain”. En bref, un plan costaud digne d’une marque média.

En avril 2020, l’équipe Immocal est comme tout le monde, confinée. Avec une perspective peu réjouissante : renoncer à sortir son magazine historique. La situation se détend rapidement et l’urgence devient moins prégnante. Mais cette idée d’un magazine digital fait son chemin. Jusqu’à devenir concrète en novembre, avec l’envoi du premier numéro de “Bien urbain” à une large audience.

“Bien urbain”, c’est une fusée à 3 étages :

1. Pour ses lecteurs, c’est un rendez-vous régulier, non intrusif (mensuel) pour connaître les bons plans avant tout le monde, apprendre des anecdotes surprenantes pour briller dans les dîners et devenir au fil des numéros un peu plus expert de l’immobilier. Le ton est sympa, direct, sans fioritures. Ça se lit d’un trait ou en zapping. C’est une “plus-value” gratuite pour les pros comme pour quiconque s’intéresse un peu à l’immobilier calédonien.

2. Pour les agents de la place et tous les professionnels liés à l’immobilier, “Bien urbain” est aussi un porte-voix pour montrer son expertise, se faire connaître et apprécier grâce à des tribunes ouvertes comme la rubrique “Quartier libre”, qui donne la parole aux agents pour parler des lieux de vie avec toute leur subjectivité.

3. Pour Immocal, c’est une visibilité supplémentaire, un lien de plus, complémentaire du magazine papier. Un espace d’annonces aussi, et un générateur performant de visites “qualifiées” pour son site.

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Conformément à l’adage “on ne change pas une équipe qui gagne”, Evidence a vite vu que l’énergie de la boss Mélanie était communicative sur Facebook. La page vivait bien. Hors de question de tout bousculer. Mais sans doute quelques points à gagner niveau engagement.Evidence vient donc simplement renforcer l’existant, en saupoudrant dans le flux des annonces et infos insolites, quelques liens natifs vers le blog et autres créations qui appellent tout sauf l’indifférence.